L’optimisation organisationnelle vise à permettre à l’entreprise de tirer le meilleur parti de ses ressources.
Cette préoccupation s’applique à un périmètre variable selon la problématique des dirigeants. Il peut s’agir de toute l’entreprise, d’une fonction (Finance, Marketing, Ressources Humaines, Achats, Production, Commerciale…), ou d’un processus (Facturation, recrutement, …).
Quel qu’en soit le périmètre, la finalité est toujours la même : l’amélioration de la performance actuelle de l’entreprise, de la fonction ou du processus.
Malheureusement, il n’y a pas d’explication unique pour qualifier le niveau de performance (que ce niveau de performance soit bon ou mauvais, d’ailleurs).
C’est ce qui rend l’exercice d’optimisation des organisations particulièrement difficile car il nécessite à la fois des connaissances très étendues et une expérience professionnelle variée :
Le cheminement mental qui conduit à une optimisation réussie d’une organisation met donc plus en œuvre l’esprit de finesse que l’esprit de géométrie. S’il s’appuie sur des analyses, c’est plus pour confirmer le diagnostic que pour l’établir (comme le médecin va faire procéder aux analyses qui vont lui permettre de confirmer ou d’infirmer son diagnostic, ou lui permettre de trancher entre deux ou trois diagnostics différents entre lesquels il hésite).
De même, il n’est pas possible de penser la performance d’une organisation, indépendamment du contexte dans lequel elle évolue et de ses spécificités : ce qui est logique ou efficace pour une structure ne l’est pas forcément pour une autre évoluant dans un autre contexte, quand bien même elles opèrent dans un secteur générique d’activité identique ou proche.
Enfin, il faut garder à l’esprit qu’il convient d’agir simultanément sur plusieurs composantes de l’organisation pour l’optimiser et donc en accroitre la performance :
L’optimisation des organisations selon Ad Valoris n’est donc pas une science mais un art. L’art d’être concret tout en finesse et en intuition.