Accueil Transformation digitale Décryptage : les réponses aux questions que vous vous posez sur les solutions d’entreprise !

Décryptage : les réponses aux questions que vous vous posez sur les solutions d’entreprise !

En quelques mots

Guide pour choisir, intégrer et optimiser les systèmes informatiques d'entreprise.

Les entreprises sont souvent confrontées à un labyrinthe de choix lorsqu’elles doivent choisir leur prochain système informatique. Chaque décision peut avoir des répercussions majeures sur la productivité, l’efficacité et le retour sur investissement.

Face à cette complexité, de nombreuses questions surgissent. « Quel système est le meilleur pour mon entreprise ? », « comment garantir la sécurité de mes données ? », « quel sera le retour sur investissement ? » sont autant d’interrogations légitimes.

Dans cet article, nous vous offrons des réponses claires et concises pour vous guider à travers le labyrinthe des solutions d’entreprise au coeur de la transformation digitale.

 

10 questions réponses fréquentes sur les solutions informatiques d’entreprise :

1. Quel est le meilleur système pour mon entreprise ?
2. Combien de temps prendra la mise en oeuvre du système ?
3. Quels sont les coûts totaux associés à la mise en œuvre et à la maintenance du système ?
4. Comment le système s’intégrera-t-il avec nos autres outils et systèmes existants ?
5. Quelle est la courbe d’apprentissage pour les employés ?
6. Quels sont les risques associés à la mise en œuvre de ce système et comment peuvent-ils être atténués ?
7. Comment le système peut-il évoluer avec la croissance et le changement de mon entreprise ?
8. Quel type de support est disponible après la mise en œuvre ?
9. Comment le système gère-t-il la sécurité et la confidentialité des données ?
10. Quels sont les retours sur investissement (ROI) attendus après la mise en œuvre du système ?

 

Question 1 : quel est le meilleur système pour mon entreprise ?

Le choix du meilleur système pour votre entreprise dépend de plusieurs facteurs clés :

  • Nature de votre entreprise : une entreprise de fabrication aura des besoins différents de ceux d’une entreprise de services ou d’une entreprise de vente au détail. Il est essentiel de comprendre les spécificités de votre secteur d’activité.
  • Taille de votre entreprise : les besoins d’une PME ne sont pas les mêmes que ceux d’une grande entreprise. Certains systèmes sont conçus pour des entreprises de taille spécifique.
  • Objectifs à long terme : où voyez-vous votre entreprise dans 5 ou 10 ans ? Le système choisi doit être évolutif et capable de s’adapter à la croissance et aux changements futurs.
  • Budget : combien êtes-vous prêt à investir non seulement dans l’achat du système, mais aussi dans sa mise en œuvre, sa formation et sa maintenance ?
  • Intégration avec d’autres systèmes : si vous utilisez déjà certains outils ou systèmes, le nouveau système doit pouvoir s’intégrer facilement avec eux.
  • Facilité d’utilisation : un système complexe peut ralentir vos opérations et nécessiter une formation approfondie. Il est préférable de choisir un système intuitif et facile à utiliser.
  • Support et maintenance : assurez-vous que le fournisseur offre un bon support après-vente et des mises à jour régulières pour répondre aux évolutions technologiques et réglementaire;

Pour résumer, il n’y a pas de « meilleur » système universel. Le meilleur système pour votre entreprise est celui qui répond le mieux à vos besoins spécifiques, à votre budget et à vos objectifs à long terme. Il est toujours recommandé de consulter un expert ou une équipe de consultants pour évaluer vos besoins et vous guider dans le choix du système le plus adapté.

Des réponses claires et concises

Question 2 : combien de temps prendra la mise en œuvre du système ?

La durée de la mise en œuvre d’un système informatique varie considérablement en fonction de plusieurs éléments :

  • Complexité du système : un système ERP complet, par exemple, prendra plus de temps à mettre en place qu’un seul outil de gestion de la relation client (CRM).
  • Taille de l’entreprise : dans une grande entreprise avec de nombreux départements et processus, la mise en œuvre peut être plus longue que dans une PME.
  • Personnalisation : si le système nécessite des adaptations spécifiques à votre entreprise, cela ajoutera du temps à la mise en œuvre.
  • Formation des utilisateurs : la durée de la formation dépendra de la complexité du système et du nombre d’utilisateurs à former.
  • Intégration avec d’autres systèmes : si le nouveau système doit être intégré à d’autres outils ou systèmes existants, cela peut prolonger la durée du projet.
  • Ressources disponibles : avoir une équipe dédiée au projet et un soutien solide de la direction peut accélérer le processus.
  • Gestion du changement : la préparation de l’entreprise à accepter et à adopter le nouveau système est cruciale. Cela peut nécessiter des sessions de sensibilisation, des formations et d’autres initiatives.

En général, la mise en œuvre d’un système peut prendre de quelques semaines à plusieurs mois, voire plus d’un an pour les projets les plus complexes. Il est essentiel de planifier soigneusement, de fixer des attentes réalistes et de travailler en étroite collaboration avec le fournisseur du système pour garantir une mise en œuvre réussie dans les délais prévus.

 

Question 3 : quels sont les coûts totaux associés à la mise en œuvre et à la maintenance du système ?

Évaluer les coûts totaux d’un système informatique nécessite de prendre en compte plusieurs éléments :

  • Coût d’acquisition : il s’agit du prix d’achat du logiciel ou du système. Pour certains systèmes, il peut s’agir d’un coût unique, tandis que d’autres peuvent fonctionner sur un modèle d’abonnement.
  • Coûts de mise en œuvre : ces coûts englobent tout ce qui est nécessaire pour installer et configurer le système. Cela inclut la personnalisation, l’intégration avec d’autres systèmes, la migration des données, etc.
  • Formation : il y aura des coûts associés à la formation de vos employés pour qu’ils utilisent le nouveau système efficacement.
  • Maintenance et mises à jour : même après la mise en œuvre, il y aura des coûts réguliers pour maintenir le système à jour, corriger les bugs et ajouter de nouvelles fonctionnalités.
  • Support : si vous avez besoin d’une assistance régulière ou d’un support technique, cela peut entraîner des coûts supplémentaires.
  • Infrastructure : si le système nécessite du matériel supplémentaire, comme des serveurs ou des équipements réseau, cela doit être pris en compte.
  • Coûts indirects : il peut y avoir des coûts associés à la perte de productivité pendant la transition, ou à la nécessité de recruter du personnel supplémentaire pour gérer le nouveau système.
  • Licences et frais récurrents : certains systèmes nécessitent des licences annuelles ou des frais d’abonnement.
  • Gestion du changement : la préparation de l’organisation à adopter le nouveau système peut nécessiter des ressources supplémentaires, comme des consultants ou des sessions de formation.

En conclusion, il est essentiel de considérer tous ces éléments pour avoir une image complète des coûts associés à un système informatique. Il est toujours recommandé de travailler avec des experts ou des consultants pour obtenir une estimation précise et éviter les surprises coûteuses à l’avenir.

 

Question 4 : comment le système s’intégrera-t-il avec nos autres outils et systèmes existants ?

L’intégration d’un nouveau système avec vos outils et systèmes existants est cruciale pour assurer une transition en douceur et maximiser l’efficacité opérationnelle. Voici comment cela peut être abordé :

  • Évaluation préalable : avant de choisir un système, il est essentiel d’inventorier et de comprendre tous les outils et systèmes que vous utilisez actuellement. Cela permettra d’identifier les points d’intégration nécessaires.
  • APIs et connecteurs : la plupart des systèmes modernes offrent des interfaces de programmation (APIs) ou des connecteurs prêts à l’emploi qui facilitent l’intégration avec d’autres outils populaires.
  • Middleware : dans certains cas, un logiciel intermédiaire (middleware) peut être utilisé pour faciliter la communication entre deux systèmes qui n’ont pas d’intégration native.
  • Personnalisation : si une intégration directe n’est pas possible, des développements spécifiques peuvent être nécessaires. Cependant, cela peut augmenter la complexité et les coûts.
  • Flux de travail : il est important de définir clairement comment les données circuleront entre les différents systèmes pour éviter les doublons et garantir la cohérence des informations.
  • Tests : une fois l’intégration mise en place, des tests approfondis doivent être effectués pour s’assurer que tout fonctionne comme prévu et que les données sont correctement synchronisées.
  • Documentation : toutes les étapes et procédures d’intégration doivent être soigneusement documentées pour faciliter la maintenance et les éventuelles mises à jour futures.
  • Support du fournisseur : assurez-vous que le fournisseur du nouveau système offre un support adéquat pour l’intégration, que ce soit par le biais de ressources en ligne, de formations ou d’une assistance directe.

En conclusion, l’intégration d’un nouveau système avec vos outils existants est un processus délicat qui nécessite une planification et une exécution minutieuses. Collaborer étroitement avec des experts techniques et les fournisseurs des systèmes concernés garantira une intégration réussie et sans heurts.

 

Question 5 : quelle est la courbe d’apprentissage pour les employés ?

La courbe d’apprentissage pour les employés lors de l’adoption d’un nouveau système informatique dépend de plusieurs facteurs :

  • Complexité du système : un outil simple et intuitif aura une courbe d’apprentissage plus courte qu’un système ERP complexe avec de multiples modules.
  • Expérience préalable : les employés ayant déjà utilisé des systèmes similaires ou ayant une bonne maîtrise des technologies pourront s’adapter plus rapidement.
  • Formation : une formation bien structurée, adaptée aux différents profils d’utilisateurs, peut grandement réduire le temps nécessaire pour maîtriser le système.
  • Support continu : la mise à disposition de ressources telles que des manuels, des tutoriels vidéo et un support technique peut aider les employés à surmonter les défis qu’ils rencontrent.
  • Engagement de la direction : l’engagement et le soutien de la direction peuvent motiver les employés à s’investir davantage dans l’apprentissage.
  • Feedback des utilisateurs : encourager les retours des employés peut aider à identifier les zones problématiques et à apporter les ajustements nécessaires.
  • Environnement de test : offrir aux employés un environnement où ils peuvent s’exercer sans conséquences réelles peut les aider à se familiariser avec le système avant son déploiement complet.

En conclusion, bien que chaque système et chaque groupe d’employés soient uniques, une approche proactive comprenant une formation adéquate, un support continu et l’engagement de tous les niveaux de l’entreprise peut aider à aplanir la courbe d’apprentissage. Il est essentiel de reconnaître que l’adoption d’un nouveau système est un processus et non un événement ponctuel, et d’offrir aux employés les ressources et le temps nécessaires pour s’adapter.

Pour découvrir la suite des 5 questions / réponses, cliquez-ici. 

 

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4 points clé à retenir

  1. Choix du système
    Le meilleur système pour une entreprise dépend de sa nature, taille, objectifs à long terme, budget, et de la nécessité d’intégration avec d’autres outils existants.
  2. Mise en œuvre
    La durée de mise en place varie selon la complexité du système, la taille de l’entreprise, la personnalisation requise, la formation des utilisateurs et l’intégration avec d’autres systèmes.
  3. Coûts associés
    Il faut considérer le coût d’acquisition, de mise en œuvre, de formation, de maintenance, de support, d’infrastructure, ainsi que les coûts indirects et les licences.
  4. Intégration et apprentissage
    L’intégration avec d’autres outils est cruciale pour la transition, et la courbe d’apprentissage des employés dépend de la complexité du système, de leur expérience préalable et de la formation fournie.

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